La Sphère Médiatique : L'art de la critique!

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lundi 12 décembre 2011

La fermeture des usines Papiers White Brich

                                                   La fermeture des usines Papiers White Brich

À deux semaines avant Noël, les usines Papiers White Brich ont annoncés la fermeture de leurs installations pour une durée indéterminée. «Les coûts de production» et «le ralentissement soutenue de l’activité économique dans le domaine du papier journal» ont menés les responsables de Papiers white Birch à prendre la décision a-t-on expliqué. La majorité des travailleurs ont répondu que c’était «archifaux».

En fait, en Amérique du Nord, la demande pour le papier journal est passée de 14 millions de tonnes métriques à moins de 5 millions de tonnes métriques. L’industrie de papier traverse une crise depuis une bonne dizaine d’années. Selon Luc Bouthillier, un professeur du Département des sciences du bois et de la forêt à l’Université Laval, ce problème est plus structurel que conjoncturel. Il y avait 2 obstacles majeurs ; les équipements sont vieux et l’industrie au Québec subit la concurrence des usines américaines, qui sont plus près des zones ou la demande est forte, et sud-américaines ou la main-d’œuvre est payé inférieurement à celle du Québec. Il pense que si l’on ferme l’usine, Produits Forestiers Résolus a de bonnes chances de «capturer»une bonne partie de cet important marché. Aussi, Tembec et Kruger vont peut-être élargir leur activité. Les 600 travailleurs ont donc manifesté le 9 décembre devant leur usine de Limoilou.

Selon moi, l’industrie du papier  est un grand polluant. Les odeurs qui proviennent de ces structures sont pestilentielles et incommodes les quartiers et gâchent la nature. Pour l’Avenir et la survie de notre planète, on devrait consommer moins de papier et mettre la majorité de nos journaux à l’ordinateur. On évite ainsi la pollution, les odeurs nauséabondes et les nombreuses coupes à blanc. La forêt Québécoise et celle du monde ont été ravagés par les coupes. Peut-être que la crise du papier est le signe  qu’il est temps de progresser et de passer à un autre moyens plus écologique de lire nos potins ou nos nouvelles ? Les cafés branchés sur internet sont un excellent moyen de lire l’actualité et socialiser. Je me sens concernées par le gaspillage et l’utilisation démesurée de papier, car je suis une dessinatrice. Nous sommes tous responsables de notre planète et les solutions intelligentes doivent passer avant l’argent, même si les travailleurs doivent se reconvertir.

Marie-Eve Hébert- Le journal du Québec

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