La Sphère Médiatique : L'art de la critique!

Bienvenue à tous sur notre blog ! Vous pourrez y trouver des résumés et des critiques des nouvelles publiées dans l'actualité québécoise et internationale. Bonne lecture à tous !































































































































































































































































































































































































































































































































lundi 12 mars 2012

L Homme aux 25 000 films

L’homme aux 25 000 films
Il  aurait le plus grand club vidéo arabe de  Montréal. Maintenant, ses films sont chez eux.

Dans son cas on pourrait dure que ses une vrais caverne d’Ali Baba. Darwich Sabbagh il y a 67 ans, possède la plus grande collection de cinéma arabe à Montréal, sinon au Canada imaginez-vous s’il aurait plus de 25 000 cassettes de VHS qu’ils dorment dans sa remise, à Pierrefonds ! Plus de Vingt-cinq-mille cassettes et près de sept milles de longs métrages, pour la plupart en trois  et quatre exemplaires.
<<Les autres collectionneurs n’ont pas plus de 2000 films>>

Son film le plus ancien date de 1936. Il s'agit du très rare et très réaliste Al Azeima, considéré comme le premier grand succès du cinéma égyptien. «C'est celui qui a ouvert la porte à tous les autres, dit-il. Avant, ce n'était que de petits films muets.
En 2007, mis K.-O. par la concurrence de la télé, M. Sabbagh aurait fermé boutique et rapatrié son fonds de commerce chez lui, par camion. «C'est triste, dit-il avec un soupçon de regret. Ce club était plus qu'un club vidéo. Les gens venaient pour jaser, prendre un café. C'était un club social.

Pour le moment, l'homme aux 25 000 vidéo se contente de transférer sa collection sur DVD, à raison d'un ou deux films par jour. «Je ne récupère pas tout, seulement ce qui est important et ce qui est bon. Je ne veux pas perdre de temps, je prends le meilleur.» Une fois l'opération terminée, il jette tout simplement la cassette à la poubelle, sans trop de sentimentalisme.

Mon  opinion : est que le collectionneur de films ça lui a surement prix beaucoup de persévérances et de patiences pour avoir au temps de films qu’il a aujourd'hui.
Joanie Labbé-Martin

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire